Récemment, la volontaire de L’AMIE, la coordonnatrice terrain ainsi que le coordonnateur National de l’Apecos se sont rencontrés à Kigali afin de réaliser une mission de suivi du projet. Le travail consistait à la préparation du plan de travail de l’année trois du projet, à la planification des prévisions, à une évaluation générale des indicateurs qualitatifs et quantitatifs, au coaching de la préparation du rapport annuel et à passer en revue le leadership.
Au cours de la première semaine de travail de la coordonnatrice terrain et de la volontaire, les deux thèmes importants ont été : la rédaction du plan de travail et les prévisions budgétaires pour l’année trois. Les activités du plan de travail de l’année trois avaient été préparées en réunion multidisciplinaire avec l’équipe de travail et chacun des membres du personnel avait apporté ses prévisions.
Plusieurs échanges entre le personnel du Canada et ceux du terrain ont également eu lieu pour pouvoir compléter le travail.
De plus, lors de cette rencontre, il a été recommandé de réorganiser le programme OLO. Cette activité sera maintenant selon le programme québécois et ne consistera pas seulement à la distribution de trois œufs, une orange et un demi litre de lait par mois à toutes les mères. Maintenant, les mères entre 12 semaines à 28 semaines de grossesse recevront un œuf, un verre de lait et une orange ou autre fruit par jour durant cette période. Nous avons garanti que les quantités d’œufs, de lait et des fruits seront augmentées afin d’améliorer la qualité des services et l’impact sur la santé des femmes et les bébés. Les bébés à la naissance doivent peser plus de 2,5 kilogrammes.
La deuxième semaine fut occupée par l’organisation de la deuxième formation de la SOGC (Société des obstétriciens et gynécologues du Canada) qui se tiendra en avril. Le partenaire de l’AMIE dans ce projet, la SOGC, organise la deuxième formation, celle des instructeurs, du 30 avril au 4 mai prochain. Comme cette formation des huit formateurs choisis sera tenue au Rwanda, il a fallu effectuer des recherches pour trouver l’hébergement approprié pour les recevoir et organiser la logistique.
Signalons que le travail a été accompli après avoir travaillé fort, car nous avons estimé que le nombre des jours impartis au travail était inférieur au volume du travail.
Nous saluons la volontaire pour le courage et l’endurance manifestés pour arriver au but de la mission.
Écrit par Denise Bantégeyeko, coordinatrice projet Burundi
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